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Nos écoles, leur histoire

 

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Les enseignants

 

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Les anecdotes

 

 

 Nos écoles

Combien d'écoles différentes pouvait on compter exactement au village ?
- École maternelle de filles
- École maternelle de garçons
- Ecole primaire de filles
- Ecole primaire de garçons
- Ecole de Mr Dubois (garçons ?)
- D'autres écoles à Roseville ou Sainte Clotilde ??
 
Cela a peut être changé au cours du temps d'ailleurs ? Surtout pour la mixité puisqu'on voit des classes séparées et des classes mixtes.

Pour ce qui est des écoles.
> 1/ l'école maternelle a toujours été mixte jusqu'en 1962.
>
> 2/ L'école primaire de garçons était celle de Mr Dubois au-dessus du marché( on lui a donné ce nom mais avant lui il y a eu d'autres directeurs.) Puis une nouvelle a été construite rue ??? qui montait au cimetière. Je ne me souviens pas de l'année Notre fils aîné a fréquenté le CP en 1961/62 avec comme instituteur Mr Coste dont l'épouse était elle-même institutrice.
>
> 3/ L'école primaire de filles qui jouxtait la maternelle. L'année 1938-39 date à laquelle j'y suis entrée la directrice était Melle Dantard
> (t).L'année suivante elle a été remplacée par Mme Dubois (comme il en faudrait beaucoup actuellement)
>
> 4 /En 1946 ou 47, une classe en préfabriqué a été installée en face du dispensaire dans une petite cour qui dépendait de l'école de filles.
> Ceci a été la création du cours complémentaire mixte une première au village pour des enfants de cet âge. Ce cours était un tremplin entre le certificat d'études et la 6ème. L'institutrice : Melle Durieux Maryse, une oranaise super...qui avait participé à la guerre de 1939/45 en tant qu'ambulancière. J'en ai gardé un très bon souvenir.
>
> 5/Une école a été construite à Ste Clotilde mais en quelle année??
Je dirais après la guerre.....
> Pour la petite histoire, la directrice de l'école maternelle avant Melle Ferrara Marie se nommait Mme Franceschi. Son fils Mario (décédé) avait écrit un livre en 1993-94 :< RUE DES JUIFS.>
>
> Alice

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c'est une bonne idée de pouvoir reconstituer nos écoles, si je peux apporter ma contribution, je me souviens de certaines maîtresses en classe
maternelle je me souviens d'une Mme Leclerc qui devait être la directrice de la maternelle , en primaire il y avait Mmes  Martinez, Coste, Amoros, Dominici et la directrice était Mme Blanc.
Gyselaine
 

J'ai appris par mon Père que Kébir était le seul village de toute l'Algérie à fournir gratuitement livres & fournitures scolaires.

La gratuité des fournitures scolaires uniquement dans le primaire et sans plafond de ressources a commencé en 1947 à l'élection de notre Maire Monsieur Janvier Ferrara cela c'est arrêté avant les évènements, donc cela n'existait plus en 1961 même avant.

Monique Proto

 

Devons nous ajouter l'École Ménagère des Religieuses - (Inter confessions )- placée sous la responsabilité de nos Religieuses "  Je crois.
        Je cite " crée en 1950 jusque en 1973 - soit plus de 11 ans après de l'indépendance.....117 élèves...
Mers-El-Kebir le Grand port. Mr J. FERRARA  (lors de notre visite en 2005, les activités .....Jojo de KEBIR

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Les enseignants

 

Nom Nom d'épouse Prénoms Période (approx)
Aeby   Régis  
Amoros   Mme  
Arcizet   Paule 1959 - 1962
Avargues   René 1945 - 1953
Avargues   Mme 1945 - 1958
Barthement   Alphonse Dominique 1894 - 1903
Batigne Mercier   Directrice école de filles
Bénazéraf   Melle  
Benedetti     ? - 1961
Billet Marty Alice (1911)
Blanc   Jean Antoine 1882
Blanc   Mme 1886
Blanc Jeanne   1955 - 1962
Bonifay   François Paul 1868
Bouquin   Rosine Sophie (1904 1906)
Bouysson   Louis (1911)
Brau   Jean-Louis 1959 -
Bruno   ?  
Buisse   Pierre François 1904
Buisson   Mme 1894 - 1897
Buson   Mme 1926
Campos   Georges 1957
Cervolon   Mr  
Choucroun Cohen Scali Claire 1945 - 1958
Chouraqui     1950
Cohen     1951
Collonge Avargues Gaby 1945 - 1953
Coste   Mme  
Coste   Mr (1956)
Cucuphat   Jocelyne 1959 - 1962
Dandine   Mme 1886 - 1894
Dantard   Mme 1933
Delbourg     1895
Dominici   Mme  
Dubeau   Léon Jules (1906)
Dubois   Aimé  
Dubois   Mme 1945 - 1958
Durieux   Maryse  
Favier   Irma 1895 - 1897
Ferrandes épouse Avargues    
Ferrara   Melle 1946 - 1947
Flus   Mme 1945 - 1958
Franceschi     1935 Directrice Maternelle
Grassies Claudine   1955 - 1962 (Directrice)
Gustavino   Mme 1945 - 1958
Hittiez   Madame  
Ivanes Lubrano Joséphine (1936)
Jannet   Marie (1906)
Labat   Mme 1897
Leclerc   Mme 1945 - 1958
Lévy   Melle  
Lopez   Melle 1945 - 1958
Lubrano   Jean Michel  
Lubrano   Mme 1945 - 1958
Marcel   Gustave (1911)
Marco   Mr 1955 - 1960
Martinez   Mme  
Mateo   ?  
Mitran Michèle Reinartz 1960 - 1962
Moussaron   Jean (1906)
Murcia   Antoine  
  Murcia Laure  
Navarro   Mme  
Oules   Françoise (1911)
Parpais   Marie Louise (1906)
Pascaly née Pascale   Marie thérèse 1932
Peretti     1926 - 1933
Perrin   Jeanne (1906)
Pineda      
Pinson   Mme 1945 - 1958
Pizzillou      
Rebec   Mme 1895
Reisdorff - Coquelin   Suzanne Clarisse 1922
Rinaldi   René  
Robert d'Eshourges     1926
Rocassera   Melle 1945 - 1958
Rolland   Claude 1959 - 1962
Romeo   ?  
Rousseau   Mme 1945 - 1958
Sabatier   Mme  
Safer      
Schlepp   Mme 1920 à 1930
Scotto   Melle  
Scotto di Vettimo   Vincent  
Segond   Jean César 1849
Serain   Joseph François Directeur école garçons
Servajean   Jeanne 1894 - 1897 - 1904
Strullu      
Tabet     1897
Thomas   Mme 1933  
Tixier   Mr 1886 - 1894  
Tonneau   Mme

1945 - 1958

 
Touta   Mohammed

1960-1961 Directeur école garçons

 
Vandernoot   Théodore

1841

 
Vedel   Henri

(1911)

 


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Les anecdotes

Et dans mes souvenirs, remontent les années scolaires (jusque et y compris chez Monsieur Avergues) où les institutrices et instituteurs nous faisaient faire des dessins pour la Noël, la fête des Mères et le 1er Mai pour les offrir aux parents. Je me souviens très bien avoir dessiné tout plein de petites clochettes au bout de tiges vertes. La spécialité de Monsieur Avargues (CM2) était de faire faire aux élèves des cigognes avec des pommes de pins. C'est vrai que la matière première ne manquait pas. Et en fin d'année, nous avions droit à des boules de glace tirées d'un récipient (comme ceux que portaient sur leur dos les vendeurs ambulants) qu'il avait acheté. Si ma mémoire n'est pas trop défaillante, nous participions de 5 francs (1952 - c'était le prix d'une glace entre deux gaufrettes) chacun et qu'il devait payer le reste de ses propres deniers.

Pour rester chez Monsieur Avargues, et pour ceux qui sont passés dans sa classe, vous souvenez vous de la grosse règle en bois qui devait mesurer 1m de long sur 2cm de côté et qu'il avait baptisée "Catherine". Quand il la sortait, ce n'était pas pour rien mais c'était plus dissuasif que pour nous taper sur les doigts quand nous faisions des bêtises. Le jour de la Sainte Catherine, il lui mettait un beau ruban, la faisait tenir droite entre le porte craie et le tableau et disait : "Aujourd'hui, c'est sa fête, elle ne travaille pas".   - Haaaaaaa !Mais il sortait une règle en fer de 50 cm et complétait : "Mais elle, ce n'est pas sa fête et elle peut travailler".   - Hoooooooo !

Sans vouloir être trop passéiste, je dirait que les enseignants, l'enseignement, l'ambiance et les élèves ne sont plus ce qu'ils étaient.

Jeannot

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Jeannot, pour la règle en bois de Monsieur Avargues, je pencherai plutôt pour "Durandal" et c'est grâce à elle que j'ai appris tous les accords sur les participes passés avec "être et avoir".

Raymond
 

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Bonjour Raymond

Je n'ai pas souvenance de "Durandal * " mais je me souviens d'un gros noeud bleu sur la règle pour le jour de sa fête et de la réflexion de Monsieur Avargues.

Lançons un "appel au peuple" pour nous départager (amicalement).

Te souviens tu de la glace de fin d'année ? Monsieur Avargues avait demandé de venir avec un verre et une petite cuillère pour manger la glace. Il nous remplissait de verre de glace (on disait "crème" à l'époque) et toi, tu avais eu une (presque) double ration parce que tu étais venu avec un bol qui avait une plus grande contenance.

* Pour les jeunes qui n'ont pas eu la chance d'apprendre l'Histoire de France, Durandal était le nom de l'épée de Roland, neveu de Charlemagne, mort à Roncevaux (Pyrénées espagnoles/basques). Une légende dit que cette épée lui servit à fendre la montagne en deux pour laisser passer ses troupes d'où le Col de Roncevaux.

Jeannot

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